Life | My Little Big Wedding

Robes de mariée : bilan des essayages, tops 3 et verdict

21 novembre 2018

L’heure du bilan des essayages de robes de mariée est enfin arrivée. Au terme de trois rounds d’essayages, j’ai le coeur léger, le sourire aux lèvres et des yeux qui brillent ! De contentement, d’émotions, d’envie d’y être déjà … 

Pour retrouver ces trois rounds : 

Les essayages : un moment qui se partage

 

S’il est vrai que j’ai aimé débuté les essayages seule, au début, j’ai adoré partager ces moments avec les gens que j’aime. Rien ne remplace la vue de ces regards bienveillants, qui vous sourient et confirment votre propre ressenti. Ces moments ont pour moi été infiniment précieux. Je les garderai longtemps en mémoire. Vraiment, ma petite équipe a été géniale et je ne les remercierai jamais assez. Ma maman évidemment. Mes soeurs M. et L. et mes copines L. et V. Sans oublier mes demoiselles d’honneur qui ont suivi le process à distance. P. depuis l’Italie, A. depuis l’Équateur, R. depuis les États-Unis, E. depuis la Suisse et V. (l’autre V) depuis la France grâce à la magie de WhatsApp !

 

L’album des essayages

 

J’ai tellement aimé cette phase de la préparation de notre mariage que je souhaite en conserver une trace. Étant donné le nombre absolument délirant de photos prises, je vais donc me faire le petit plaisir de faire un album photos qui couvrira les essayages, puis les rendez-vous pour ajuster ma robe jusqu’au moment où elle repartira avec moi. Voilà un projet pour occuper l’après-mariage !

 

L’expérience d’essayages

– Mon top 3 –

 

  1. Céline de Monicault
  2. Rime Arodaky
  3. Kleinfeld (New York)

 

Les plus beaux showrooms 

– Mon top 3 –

 

  1. Rime Arodaky
  2. Kleinfeld (New York) – dans un style complètement différent
  3. Céline de Monicault

 

Les robes

– Mon top 3 –

 

Au terme des trois rounds d’essayages, trois robes sont vraiment sorties du lot (dans l’ordre des essayages). Une à chaque round, si l’on retire celle essayée à New York et qui était sublime également (la Agnes de Peter Langner).

  • Une Rosà Clarà couture
  • Une Rime Arodaky
  • Une Céline de Monicault

 

Mes critères de décision

 

C’est sur la base de mon ressenti et des réactions des autres femmes de ma vie (ma maman, ma grand-mère et mes soeurs) et de mes copines que s’est effectué mon choix.

Côté budget, une variation de mille euros entre la plus chère et la moins chère donc des différences non significatives, à ce niveau de qualité.

Inconsciemment, je crois que le fait que Rime Arodaky et Céline de Monicault fabriquent en France avec des tissus français et/ou italiens m’a également influencée.

Côté confort, la Rosà Clarà l’emportait largement. Céline de Monicault remportait le match de la personnalisation et du vrai sur-mesure. Rime Arodaky, celui du glamour et de la personnalité. Les trois modèles me plaisaient énormément. Tous les trois très différents.

 

Conclusion et verdict 

 

Mais quand j’ai imaginé mon entrée dans l’église et le premier regard de Monsieur Chéri,  une robe est apparue comme une évidence.

Quand j’ai voulu concilier simplicité avec détail couture, le côté sage et une dimension ultra féminine, une robe s’est imposée.

C’était celle dont j’avais rêvé longtemps avant de me fiancer. Celle pour laquelle j’avais pris mon tout premier rendez-vous et autour de laquelle j’avais articulé mes essayages. L’essayer et observer les réactions de mes proches n’ont fait que confirmer que ma première intuition était la bonne.

Vous avez deviné ?

Dans onze mois, je me marie en Rime Arodaky !

 

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